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Écritures de vérité

Envoyé par walt33 le 01/01/2012

(17) Puisque dans l'espace la Terre n'offrait qu'un disque infime au souffle de l'explosion atmosphérique du Soleil, on peut estimer que la force reçue ne fut pas si grande, et que quarante mille révolutions furent approximativement la durée du précambrien, cinquante mille celle du primaire, soixante mille celle du secondaire, trente-cinq mille celle du tertiaire, et douze mille celle du quaternaire qui commence depuis sa stabilisation. En additionnant ces durées présumées, mais probables, on voit que le Soleil ne brille que depuis cent quatre-vingt-dix-sept mille révolutions ! Bien que ce soit approximatif, nous sommes cependant fort proches de la réalité. Pour s'en convaincre, il suffit de procéder dans l'autre sens. C'est-à-dire que si on remonte le serpent à partir de la croissance démographique et de la dernière grande époque glaciaire qui fit plisser les montagnes, on parvient à des estimations de durée semblables.


(18) Mais mieux vaut s'abstenir de toute mesure de temps, car quelle était la durée d'une année (une révolution) lorsque la Terre était en orbites basses et en orbites hautes ? Nous ne le savons pas. C'est pourquoi, en ce qui concerne les ères terrestres (les ères géologiques), il ne faut pas raisonner en années mais en jours célestes. On dit : de la naissance à l'éclairement du Soleil, ce fut un jour céleste ; le précambrien fut un autre jour ; le primaire également ; et ainsi de suite pour toutes les ères. Alors nous resterons avec Moïse dans ce qui est effectivement vrai. Car voici comment l'enseignement du Fils est conforme aux Écritures, et comment sa parole est confirmée par Moïse. Ainsi, vous saurez enfin que Dieu existe, et que ses deux témoins sont les seuls hommes que le monde doit suivre pour son salut.


(19) En ce qui concerne la création du monde, Moïse écrit dans la genèse :


Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre (toute la famille solaire). La terre était informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'Esprit de  Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit :


Que la lumière soit ! Et la lumière fut (l'éclairement du Soleil). Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et appela les ténèbres nuit (commencement du jour et de la nuit avec l'éclairement du Soleil). Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE PREMIER JOUR (avant le précambrien).


(20) Dieu dit : Qu'il y ait une étendue entre les eaux, et qu'elle sépare les eaux d'avec les eaux (commencement de l'étendue d'eau sur la Terre qui la sépara de la couronne qui s'en allait doucement). Et Dieu fit l'étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l'étendue (sur le sol) d'avec les eaux qui sont au-dessus de l'étendue (la couronne). Et cela fut ainsi. Dieu appela l'étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE DEUXIÈME JOUR (le précambrien).


(21) Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel (sur le sol) se rassemblent en


un seul lieu, et que le sec paraisse (l'émergence des continents engendrant le


creusement des bassins). Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas


des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l'herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE TROISIÈME JOUR (le primaire).


(22) Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes, pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour (le Soleil), et le plus petit luminaire pour présider à la nuit (la Lune) ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE QUATRIÈME JOUR (le secondaire).


(23) Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l'étendue du ciel. Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE CINQUIÈME JOUR (le tertiaire).


 24) Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, l'assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur tout  animal qui se meut sur la terre. Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d'arbre et portant de la semence ; ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. Dieu vit tout ce qu'il avait fait ; et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut LE SIXIÈME JOUR (le quaternaire).


(25) Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au SEPTIÈME JOUR son oeuvre, qu'il avait faite ; et il se reposa au septième jour de toute son oeuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son oeuvre qu'il avait créée en la faisant (le royaume).


(26) Tout est raconté dans les six jours et le septième jour décrits par Moïse, et autour desquels sont faites les Écritures. Les six jours sont les six ères nécessaires pour que l'homme soit. Et le septième jour est le repos de Dieu, le jour que Dieu bénit, parce que cette fois ses enfants connaissent toute la vérité. Il s'agit du royaume (du sanctuaire), d'un jour sans fin dans lequel entrent aujourd'hui ceux que son fils se choisit.


 




            Le témoignage des Écritures


(27) Maintenant vous croyez. Parce que vous voyez que Moïse d'abord et le Fils de l'homme ensuite sont véritablement ensemble sur la montagne de l'Éternel. Lorsqu'on regarde la figure de l'évolution de la Terre, ne voit-on pas un serpent ? Dès le début du livre, j'ai parlé de ce serpent, de ce fameux serpent qui redevient une verge dans la main de Moïse avec laquelle il frappe la terre de sa parole. Je vous le dis, Moïse savait lui aussi ce qu'il en était de l'histoire du monde, car Dieu l'éclaira comme il m'a éclairé. Il connaissait les ères et les écrivit pour qu'elles servent de témoignage lorsque je les démontrerais au monde entier.


(28) Jusqu'à Jean, il y eut Moïse, sa table et sa plume ; cet homme sans lequel le monde humain n'aurait pu parvenir jusqu'à ce jour où je vous prends de sa main pour vous emmener dans le royaume. Mais parce que dans le désert les hommes parlèrent contre Dieu et contre Moïse, l'Éternel dit à Moïse :


Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie. Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent et regardait le serpent d'airain, conservait la vie.


(29) Il a déjà été expliqué que ce serpent accomplit véritablement des miracles ; parce qu'il guérit celui qui le regarde, même s'il a été empoisonné par les serpents, que sont les hommes sans lumière et sans espérance. Le serpent le guérit et lui conserve la vie, parce qu'il lui montre les origines et la destinée de chacun. Il lui montre aussi comment il doit se conduire avec la loi de Moïse pour garder son âme vivante et prendre part au royaume dans les mondes à venir. Mais nous ne sommes plus au temps des figures allégoriques, car ce temps-là, propre au désert, est désormais achevé. Nous sommes au temps où l'homme finit sa traversée du désert et entre de plein pied dans la vérité, au temps où il ouvre les yeux pour voir le réel tel  qu'il est et s'allier aux mondes des anges qui peuplent la grande Roue. Mais si vous ne croyez pas aux évidences, vous ne subsisterez pas ; car c'est pour vous garder en vie que nous sommes envoyés devant vous. (


30) Jésus dit :


Et comme Moïse éleva le serpent (la figure des sept jours) dans le désert,il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Moïse a en effet élevé ce serpent au ciel, mais vous ne l'avez point vu. Pourtant tout est révélé dans les six jours, suivis du septième jour qui est le jour où Dieu se repose de son oeuvre ; car cette fois, connaissant la vérité, les hommes cesseront de détruire la Terre et de s'entre-tuer comme ils le font sans la connaissance. A vous donc de comprendre ce que signifie : élever le serpent dans le désert, ainsi que l'analogie qui est faite avec le Fils de l'homme, attestant, par sa connaissance, l'oeuvre de Moïse, de celui qui a la même vision des temps.


(31) C'est avec ce que nous montrons que vous choisissez votre destinée car, ou vous comprenez ce que nous disons ou vous ne le comprenez pas. Mais fini le temps de feindre, fini le temps de l'hypocrisie ! La vérité est devant vos yeux : dessinée, expliquée, confirmée. Que choisissez-vous alors : d'écouter Moïse et le Fils de l'homme, ou de vous en remettre encore à ceux qui, sans lumière, vous conduisent au désastre et à la fin ?


(32) Dieu a défendu à l'homme de manger de l'arbre de la connaissance, parce qu'en vérité l'homme en serait venu à saisir le serpent qui montre en grand qui nous sommes, d'où nous venons et où nous allons. Or, il ne fallait pas que l'homme connaisse la vérité, parce que le blé et l'ivraie devaient d'abord croître ensemble jusqu'à la fin des siècles, pour qu'il y ait récolte et que l'ivraie soit jetée dans l'étang de feu pour toujours. Je parle des circoncis et des incirconcis assurément, ainsi que de la fin de ce monde. Mais je sais que vous avez le cou raide et que vous ne comprenez pas toujours ce que l'on vous dit ; cela parce que les longs mensonges habitent encore vos pensées.


(33) Mais, maintenant, vous entendez pourquoi Dieu dit à l'homme que le jour où ses yeux s'ouvriront, il mourra. Il en est ainsi, parce qu'on ne peut plus vivre avec les yeux ouverts dans un monde de ténèbres où la folie s'est emparée de tous les habitants. On meurt, parce qu'avec la connaissance, on ne peut plus aller comme on le faisait en étant ignorant. C'est pourquoi ce fameux serpent, qui parle mieux qu'une bouche, dit à la femme : vous ne mourrez point, car vous serez comme des dieux connaissant le bien et le mal. N'est-ce point ce qu'il vous dit, femmes, au terme des six jours ? Vous ne rendrez pas l'âme assurément et vous continuerez de respirer ; mais, je vous le dis, avec les yeux ouverts plus rien ne sera pareil. Ne soyez donc pas craintives, parce que la connaissance vous remplira peu à peu d'une joie nouvelle et fera s'enfuir l'iniquité de devant vos pieds.


       La formation du relief


(1) Après avoir déterminé l'origine des ères, et saisi les paroles de Moïse relatant la création en fonction de ces époques, examinons maintenant ce que fut l'évolution du relief. Rappelons tout d'abord que le noyau de la Terre ne s'est jamais refroidi. Au contraire, depuis l'éclairement du Soleil, son activité n'a cessé de croître. Son échauffement a augmenté en conséquence, et cette chaleur s'est diffusée dans le manteau. Cependant, le serpent révèle que la Terre a connu deux périodes froides et une période chaude qui eurent chaque fois de grandes incidences sur ce manteau. En effet, ce sont ces grands changements de température qui formèrent le relief et firent émerger les continents.


(2) Le relief est ce qui fait saillie à la surface d'un astre. Toutefois, ces saillies sont si petites par rapport à la taille de la Terre que nous n'en sentirions point les aspérités si nous pouvions la prendre dans la main. Il faut donc veiller à rester dans les justes proportions de ce que nous allons étudier.


           Principe de formation du relief


(3) Avec L'INTÉGRATION et la DÉSINTÉGRATION, qui sont ensemble l'origine et le principe de toute existence, nous avons aisément expliqué la formation des astres. Pareillement, avec la CHALEUR et le FROID, descendant des deux mouvements précédents de la matière, nous allons démontrer maintenant la formation du relief et l'évolution continentale avec tout ce qui s'y rapporte.


(4) Toute matière dilatée par la chaleur se contracte sur elle-même en se refroidissant, comme la terre humide se contracte et se craquelle lorsqu'elle sèche. Nous savons en effet que la chaleur dilate un corps et que le froid le contracte. En raison de la température du noyau, le manteau qui l'enveloppe est un corps chaud et dilaté dans son ensemble, un corps pouvant fort bien se contracter lors d'un refroidissement, comme le fait le verre fondu que l'on retire du feu. Or, des rétractions signifient des contractions, soit des mouvements de la matière qui modifient forcément le relief d'un astre. Et c'est ce qui s'est produit avec les planètes, et notamment avec la Terre qui, pendant ses va-et-vient, changea constamment la température de son manteau.


(5) Par son poids et par sa plus ou moins grande infiltration dans les couches supérieures du manteau, l'eau participa aux formations du relief terrestre, sans en être la cause toutefois. Ce qui le fut, ce sont trois phénomènes qui se produisirent successivement. Le premier phénomène fut consécutif au développement du noyau et aux rétractions du manteau (avant le précambrien) qui firent ouvrir des failles plus ou moins longues et profondes dans le sol. Et c'est à partir de ces failles que les gaz et la lave remontèrent à la surface, en prenant peu à peu la forme du volcanisme marin et terrestre que nous connaissons. Le volcanisme est le deuxième phénomène, car il est responsable du grand nombre d'îles qui apparurent le long de ces failles originelles, et de la formation de longues chaînes montagneuses pourvues de volcans, même éteints. Le troisième phénomène, c'est qu'à partir de ces points durs qui émergeaient en partie, s'engagea un long processus d'apport de terre, un processus dû aux vastes rétractions des couches supérieures du manteau saisies par le froid intense des deux époques glaciaires. Mais penchons-nous d'abord sur ce que furent les changements de température du manteau, ensuite sur l'épaisseur à laquelle on peut l'estimer. Nous saurons ensuite ce qui s'est produit sur notre planète depuis l'éclairement du Soleil.


(6) N'ayant pas quitté son anneau, le noyau de la Terre est resté chaud tout au long de son histoire, tandis que le manteau, lui, a subi de grands changements de température extérieure qui l'ont modifié en conséquence. Effectivement, on voit sur le serpent qu'en fin du précambrien le manteau s'est plus refroidi par l'extérieur qu'il ne s'échauffait de l'intérieur. Ce qui, durant un certain temps, le fit descendre en température dans quasiment la moitié de son épaisseur.


(7) Contrairement à cette période, tout au long du primaire, où la chaleur solaire augmentait de jour en jour, le manteau s'échauffait plus qu'il ne se refroidissait. Ce qui, pour un autre temps, le fit remonter en température dans toute son épaisseur.


(8) Ensuite, durant le secondaire, le manteau très chaud ne pouvait que se refroidir le long de cette ère car, venant de la chaleur, la Terre s'en allait à nouveau dans le froid. Le manteau baissa donc à nouveau de température.


(9) Le long du tertiaire, le manteau se réchauffa encore, la Terre se rapprochant une deuxième fois du Soleil. Sa température remonta en conséquence.


(10) Et enfin, dans le quaternaire où nous sommes et où la Terre est stabilisée, cette fois, le manteau se refroidit par l'extérieur autant qu'il s'échauffe de l'intérieur. Ce qui lui maintient désormais une température constante. Nous voyons alors que le manteau terrestre connut de très grands changements de température, qui sont forcément responsables des mouvements du sol et, ainsi, de la formation du relief.


      (SOYEZ PATIENT, POUR CE QUI EST DES CHOSES CÉLESTES)


                     Dieu vous fait découvrir son univers


(26) Affairés seulement à la recherche de la domination, des biens matériels et du profit, les prêtres de Satan vous ont profondément enfoncés dans les ténèbres pour vous rendre de plus en plus superstitieux et craintifs. Vous ne pouviez alors agir qu'en fonction de leurs traditions qui vous faisaient perpétuer le mensonge et l'horreur. Ce qui devait être cependant, jusqu'à la venue d'Emmanuel qui conduirait la créature dans toute la vérité. C'est pour cela et en raison de ce que j'ai déjà exposé, que Jésus dit :


Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres,comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ?


            L'état du noyau et du manteau


(11) En partant du centre du noyau de ferronickel, voici comment il faut observer les divers états de la matière jusqu'à la surface du sol : le noyau est froid et rigide depuis le centre jusqu'au bord où il est très chaud et fluide sur une faible épaisseur. Par-dessus le noyau, duquel remonte une forte température, on trouve le manteau d'abord fluide puis visqueux puis pâteux (le tout sur une faible épaisseur), puis souple, puis ferme, et enfin rigide jusqu'à la surface du sol. Le manteau est donc relié au noyau par une mince couche fluide.


(12) Produit essentiellement par le dessous (au niveau du noyau), le manteau pousse comme la chair. Sa partie fluide c'est la lave, sa partie pâteuse et visqueuse c'est le magma, et sa partie ferme c'est le reste du manteau. Les connaissances que nous avons sur la fonte nous montrent que le métal fluide du noyau, provenant de l'effet de résistance électrique, ne peut dépasser la hauteur des chevilles d'un homme. Puis, comprenant jusqu'où la matière du manteau peut être fluide, puis visqueuse par cette chaleur, on évalue son épaisseur à une hauteur d'homme seulement. Et à l'aide de l'étude de la naissance et de la croissance du satellite, on estime que l'épaisseur totale du manteau (depuis le métal fluide jusqu'à la surface du sol) ne peut dépasser une trentaine de kilomètres dans sa plus grande épaisseur, et probablement le tiers de cette dimension dans ses parties les plus fines.


(13) Quoi d'autre peut nous faire apprécier l'épaisseur du manteau ? Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter étaient, tout comme la Terre, des satellites du Soleil avant qu'il ne s'éclaire, et avaient un manteau comme tout satellite. Mais ces astres, qui n'ont pas bougé et dont la chaleur a constamment augmenté depuis l'éclairement du Soleil, changent en ce moment leur manteau en vapeurs. C'est pourquoi leur atmosphère est géante.


(14) Ainsi, sur le noyau de Neptune, le moment venu, il s'y trouvera directement le métal en fusion recouvert seulement d'oxydes et de scories. Sur Uranus, cela sera semblable ; mais pour l'instant, il y a encore une certaine épaisseur de lave par-dessus le métal en fusion. Sur Saturne, il en sera de même, bien qu'en ce moment il y ait une bonne épaisseur de magma visqueux. Et sur Jupiter, où il reste encore une légère croûte grise et très chaude par-dessus le magma, on aboutira au même résultat. Si cela n'est pas encore ainsi aujourd'hui, cela viendra. Car l'intense activité électromagnétique de ces astres oblige la désagrégation de leur manteau.


(15) Nous comprenons aussi que le manteau de ces astres ne peut pas être très épais, sinon il isolerait leur noyau, et la chaleur de ce dernier ne parviendrait pas jusqu'à la surface du sol. Dans ce cas, et en raison de la très basse température qui règne dans leurs parages, il n'y aurait pas d'atmosphère géante sur ces planètes (celle-ci se condenserait) mais seulement de la glace sur le sol. Cela nous montre que si le manteau de ces astres n'est pas épais, celui de la Terre ne peut être que comparable dans ses dimensions.


(16) Par ailleurs, et toujours pour saisir que le manteau de la Terre ne peut excéder les dimensions évoquées, tournons-nous cette fois du côté des satellites et aussi de la Lune qui est soeur de la Terre. Plus le satellite est petit, moins son manteau est épais et inversement. Sur les satellites donc, on observe de grands cirques laissés par l'éclatement de dômes gigantesques soulevés par les gaz. Comme nous l'étudierons par la suite, ces dômes sont d'autant plus gigantesques que les satellites sont petits et actifs. Car il va de soi que leur manteau peu épais et encore léger, chaud et souple, est facilement soulevé dans toute leur épaisseur par les gaz. Les dômes, ainsi formés, sont comparables à des coupes renversées directement sur le magma. Et, par leur affaissement, ils laissent un cirque et, au fond de celui-ci, un lac de lave qui se solidifie en devenant sombre.


(17) De tels lacs de lave au fond des cirques sont observés sur la Lune. Ce qui indique que son manteau est fort peu épais et que cet astre a bien un noyau, sinon d'où viendrait cette lave ? Pour toutes ces raisons, et bien que le manteau terrestre


soit plus épais que celui de la Lune, il ne peut excéder les dimensions données. Soyez-en certains. Et notre étude du volcanisme le confirmera.


(18) Autrefois, quand la Terre était le satellite dernier-né de la planète Soleil et forcément tout proche de celle-ci, elle avait l'aspect actuel de la Lune. Mais les montagnes de la Terre n'étaient pas aussi grandes que celles que l'on constate sur la Lune ; car, contrairement à cette dernière qui s'est rapidement et entièrement refroidie, la Terre, elle, resta chaude tout au long de son existence. Son sol était donc également recouvert de cirques : les plus grands faits par les gaz, et les autres par les retombées de pierres, de roches et de blocs importants provenant de l'éclatement des dômes.


(19) Puis, après l'éclairement du Soleil, la Terre continua sa croissance. Ne s'étant point refroidie, et en raison de toutes les substances produites par le noyau, son manteau crût en conséquence et finit par atteindre l'épaisseur que nous évoquons. Nous savons maintenant que celui-ci a subi de gros écarts de température, et qu'il n'a pas trois mille kilomètres d'épaisseur comme les insensés le prétendent, mais une épaisseur cent fois moindre.


          Voyage dans les ères


(1) Autour de chaque étoile nouvelle, les astres travaillent pour préparer la venue des hommes qui sont les demeures de Dieu. Il en fut ainsi dans la famille solaire, au sein de laquelle la Terre effectua des va-et-vient qui lui façonnèrent son visage, qui est celui d'une jeune femme fort belle de taille et d'aspect. Après avoir donné naissance au monde, elle vient d'enfanter un fils, et va enfanter tous ses enfants derrière lui. C'est pour protéger ce monde que Mars et Vénus, ses servantes, ont aujourd'hui pour mission d'occuper les régions du ciel où la Terre ne doit plus aller ; car la température qui règne dans leurs parages ne permet pas le cycle de l'eau duquel dépend la manifestation de la vie.


(2) En ce qui concerne la Terre et le réveil du Fils, qui est Pierre, l'Écriture rapporte ceci :


Lorsque Pierre avait faim (faim de la vérité), il vit le ciel ouvert, et un objet semblable à une grande nappe attachée par les quatre coins, qui descendait et s'abaissait vers la terre, et où se trouvaient tous les quadrupèdes et les reptiles de la terre et les oiseaux du ciel. Et une voix lui dit : Lève-toi, Pierre, tue et mange. Cela arriva jusqu'à trois fois ; et aussitôt après, l'objet fut retiré dans le ciel.


Je suis Pierre. Et à l'époque où j'éprouvais cette faim, je saisis ces paroles qui m'aidèrent à me lever. Ce signe ne put rester une énigme pour moi car, le ciel m'étant ouvert, je comprenais le monde et ce que je devais accomplir pour construire l'arche selon ses trois étages et sauver ce qui ne doit point périr. Mais cette nappe sur laquelle le monde est représenté, est aujourd'hui appelée : mappemonde. Il s'agit de la planisphère et de ses quatre points cardinaux auxquels elle est attachée. Eh bien, nous allons observer cette nappe du monde dans toutes les ères, pour avoir une vision d'ensemble des époques antérieures, jusqu'à ce jour. Pour cela, aidons-nous une fois encore de la figure des va-et-vient de la Terre.


     Les éléments de la création


(1) Après avoir exploré l'univers, nous avons pu étudier la Terre que nous connaissons bien désormais, car notre cheminement au sein de l'activité de la matière nous a mis en contact avec le réel. Nous avons ainsi observé l'essentiel des éléments qui constituent les mondes de l'univers. Et après avoir défini les ères terrestres, nous nous sommes rapprochés le plus possible de la naissance originelle des hommes. Nous avons vu que le principe d'existence (qui est l'apport et la dépense de la force qui crée et renouvelle) oblige que l'humanité soit composée d'autant d'hommes que de femmes. Nous savons aussi qu'il faut l'eau et son cycle qui ne peut se faire qu'à la bonne distance du Soleil, et que l'activité électromagnétique est aussi la force unique qui apporte d'en haut les informations de tout ce qui existe dans l'univers, formant le souffle de Dieu.


      Les conditions de vie et leurs fluctuations


(2) On sait maintenant que tous les astres chauds produisent de l'eau. Et les explosions atmosphériques nous ont montré que l'eau projetée dans l'espace par les étoiles qui s'éclairent reste en partie sur leurs planètes. La Terre a, par ce biais, reçu beaucoup d'eau du Soleil qui, lui-même, en a reçu en abondance de son étoile mère ; et ainsi de suite. C'est pourquoi une partie de l'eau que nous buvons et avec laquelle nous sommes faits, a pu voyager longuement dans la Galaxie avant de s'ajouter à celle produite par le Soleil, qui féconda la Terre.


(3) L'eau est le seul corps qui renferme tous les éléments matériels de l'existence, et qui concentre les informations de l'univers produisant des organismes vivants. Toutefois, à ces éléments vitaux, que j'appelle conditions de vie, s'ajoutent aussi la magnétosphère, la température du sol, ainsi que la chaleur et la lumière du Soleil. Le climat local et les saisons en font également partie, de même que la situation géographique, le relief et l'irrigation des pays. A cela, s'ajoutent les êtres déjà créés qui enrichissent d'autant les éléments de leur présence et dont dépend l'existence des créatures suivantes. Et tout ceci concerne l'ère et le moment de l'ère où tout diffère du moment précédent. D'où la grande diversité des êtres et des mondes qui nous ont devancés.


(4) Cette nouvelle image des va-et-vient de la Terre, nous montre encore une fois ce que furent les mondes antérieurs. En fonction des déplacements, les conditions de vie des espèces apparurent, crûrent et devinrent maximales ; puis régressèrent, s'amenuisèrent et disparurent au sortir de la région favorable. Les êtres apparurent et disparurent de la même façon ; car, leurs conditions de vie s'en allant, ils s'en allaient avec elles. Cela fut jusque dans le secondaire où, vers la fin de cette ère, l'arrivée de la Lune interrompit momentanément toute existence. Dans le tertiaire, il y a aussi apparition et croissance des conditions de vie, mais cette fois elles demeurent, en raison de la stabilisation de la Terre qui marque le début du quaternaire dans lequel nous nous trouvons aujourd'hui.


(5) Ces éléments primordiaux à partir desquels les êtres trouvent existence, furent tout d'abord minimes dans le PRÉCAMBRIEN qui fut l'ère dans laquelle la Terre se couvrit entièrement d'eau en évoluant longtemps dans le nuage solaire. Il n'y avait que peu de lumière et peu de points chauds en ces temps-là. C'est pourquoi les eaux ne produisirent que quelques rares espèces. Dans le PRIMAIRE, où les terres émergèrent, les conditions de vie se développèrent considérablement, tout comme elles le firent dans le SECONDAIRE, puis davantage dans le TERTIAIRE, et encore plus dans le QUATERNAIRE où elles parvinrent à leur apogée, au comble de ce qu'elles peuvent être actuellement. Il n'y a donc pas eu régression mais progression et enrichissement des conditions de vie jusqu'à présent, et créations de mondes conséquents.


(6) Dans le PRIMAIRE, remarquons sur la figure que les conditions d'existence commencèrent à faire leur apparition à l'équateur d'abord, qui fut la partie la première exposée à la chaleur solaire, et qu'elles s'étendirent ensuite jusqu'aux pôles en raison du déplacement de la planète. C'est évidemment aux pôles qu'elles disparurent en dernier, à cause de la chaleur solaire qui ne cessait de croître en fin de cette ère. Ainsi, la luxuriante végétation et les êtres apparurent en premier à l'équateur, puis sur l'ensemble des deux hémisphères, jusqu'aux pôles où elles s'éteignirent en dernier.


(7) Dans le SECONDAIRE le mouvement fut inversé, parce que la Terre sortit chaude de son séjour près du Soleil. Les nouvelles conditions de vie et les êtres correspondants apparurent donc en premier aux pôles, qui restèrent longtemps dépourvus de toute glace, et non à l'équateur où la chaleur solaire était trop élevée. C'est pourquoi les reptiles (les dinosaures) de cette ère ne purent se rapprocher de l'équateur qu'en dernier, lorsque la Terre était suffisamment refroidie ; ce qui signifie dans la deuxième période du secondaire et juste avant l'arrivée de la Lune. Pour ces raisons, on remarquera que les fossiles des dinosaures figurent peu ou pas, dans les régions équatoriales. D'autre part et comme nous l'avons dit, au moment de l'interception de la Lune, ils étaient dans la période de leur extinction. Beaucoup d'entre eux avaient déjà disparu.


(8) Dans le TERTIAIRE, le mouvement d'apparition des espèces s'inversa encore par rapport à l'ère précédente, parce que la Terre sortit froide de la dernière période de grande glaciation. Les êtres réapparurent forcément à l'équateur, (comme dans le primaire) puis progressivement sous toutes les latitudes en allant vers les régions polaires où la calotte glaciaire régressait d'année en année. Dans cette ère tertiaire, les conditions de vie ne disparurent pas. Au contraire, elles ne cessèrent de s'enrichir  grâce à la stabilisation de la Terre qui se fit à la fin de cette ère. Cette stabilité fut le commencement du QUATERNAIRE, l'ère propice aux conditions de vie humaines. Et les hommes furent créés.


                Les êtres créés en réponse


(9) Après le minéral (qui fut la formation de la Terre) vient le végétal, puis l'animal, et en dernier l'humain pour lequel tout est préparé. Car il va de soi que les conditions de vie des êtres apparaissent avant que ceux-ci soient créés en réponse. On ne peut en effet imaginer les herbivores, par exemple, apparaître avant la végétation dont ils se nourrissent, sinon il aurait fallu qu'ils mangent des pierres pendant un certain temps... Les hommes durent aussi attendre leur tour pour être formés dans l'ordre de la création, qui ne peut être changé. Cet ordre est celui des règnes qui furent dans les ères, et montrés par le serpent.


(10) Nous savons maintenant que les êtres terrestres ne sont pas des êtres marins qui sortirent jadis de la mer, mais que c'est l'eau seule qui le fit et qui arrosa toutes les terres émergées par le biais des pluies. Elle forma ainsi les ruisseaux, les rivières, les fleuves, les lacs, les marais, les étangs et tous les lieux humides propices à la vie. C'est pourquoi, avec les minéraux, l'eau produisit les êtres marins d'un côté et les êtres terrestres de l'autre. Chaque espèce fut formée selon son ère, dans son milieu, et en fonction de ce qu'il y avait. Aucune d'entre elles ne fut formée à partir de rien, ni avec ce qui n'existait pas... toutes naquirent à partir de l'eau et en réponse à ce qui existait en leur temps et que la Terre offrait généreusement avec le Soleil.


(11) Vint d'abord le milieu, puis la créature qui fait un avec lui. Et l'on peut observer aujourd'hui que la fin du précambrien, la fin du primaire, la fin du secondaire, ainsi que le jour de l'arrivée de la Lune, furent tous des barrages infranchissables pour les êtres vivants. C'est pourquoi ces obstacles mettent en évidence le fait que les animaux marins restèrent dans leur milieu, qu'ils ne sortirent point de la mer pour aller sur la terre ferme en se transformant progressivement dans le temps, comme les savants des ténèbres le soutiennent avec leur théorie de l'évolution !


(12) D'ailleurs, pour que les animaux aquatiques et amphibiens soient sortis de la mer, n'aurait-il point fallu qu'ils eussent le désir de le faire ? Pourquoi donc ces êtres auraient-ils eu le désir d'aller vivre à l'air libre, dans un milieu étranger qui leur était parfaitement hostile et pour lequel ils n'étaient point conçus ? Peut-on imaginer qu'il en fut ainsi ? Nul ne le peut. Pourtant, ce sont ces changements de nature qui sont enseignés aux petits enfants ! Mais quand on ignore que ce sont les planètes qui activent et font briller les étoiles, et que la Terre a fait des va-et-vient par-devant le Soleil, on se cache et on se tait. On ne dit rien.


(13) L'eau apportée par le nuage solaire était forcément de l'eau douce. Cette eau s'est ensuite progressivement salée sur les dorsales pendant les deux cent mille années d'éruptions volcaniques, de dissolutions des corps minéraux, et d'activité électromagnétique produisant des sels par électrolyse. Ce qui nous permet de dire que les animaux marins furent d'abord des êtres d'eau douce, puis d'eau saumâtre et en dernier d'eau salée. Dans le primaire, les roseaux, les insectes vivant sur l'eau ou dans l'eau, les nénuphars, les grenouilles, les serpents et les poissons des étangs de cette époque, devaient aussi se trouver en bord d'océan...


(14) En observant les va-et-vient, on voit que la composition de l'atmosphère, le climat, les saisons, ainsi que la durée des années différaient tout au long d'une ère et d'une ère à l'autre. C'est pourquoi les créatures formées avec les ingrédients de ces temps-là portaient de grandes différences de taille. Selon la durée de révolution de la Terre autour du Soleil, ils étaient probablement grands et lents sur les grandes orbites, petits et rapides sur les petites orbites. Choses que l'on peut imaginer en regardant le serpent. Ainsi, dans une même ère, les conditions d'existence qui changeaient d'année en année et de siècle en siècle faisaient apparaître un monde toujours différent.


(15) Aussi, puisque les êtres créés en réponse étaient formés avec ce qui existait en leur temps, ils étaient naturellement adaptés aux éléments composant le milieu duquel ils étaient issus. Alors, tant que ces éléments à l'origine de leur existence demeuraient, les créatures pouvaient demeurer. Mais au fur et à mesure que la Terre se déplaçait et que ces éléments s'amenuisaient et disparaissaient en conséquence, les créatures correspondantes disparaissaient avec eux. On comprend, en effet, qu'en n'ayant pas le pouvoir de se concevoir et de se créer eux-mêmes, les êtres ne peuvent disposer du pouvoir de s'adapter à des éléments qui ne font point partie des sources de leur existence. Ceci, et ce que nous avons déjà vu par ailleurs, montre à l'évidence qu'il n'y a jamais eu d'évolution des espèces par transformation de leur corps dans le temps.


(16) Mais outre le fait que les espèces apparurent et disparurent dans des périodes différentes, pourquoi y a-t-il eu diversité des espèces végétales et animales dans une seule ère ? Par exemple, lorsque les conditions de vie devenaient dix sous telle latitude, une créature correspondante de dix apparaissait en réponse. A cet instant, les conditions de vie devenaient onze, parce que l'espèce créée en faisait partie. Cette fois, une espèce de onze était formée en réponse et quelque peu différente de la précédente qui demeurait. La première espèce n'est donc point devenue la deuxième, et cette dernière n'effaça point la précédente qui avait toujours sa raison d'être. La diversité des espèces s'est opérée de la sorte. Car chaque espèce nouvelle enrichissait les conditions de vie par sa présence, en obligeant une élaboration toujours plus grande des espèces nouvellement créées et, cela, jusqu'à ce que l'homme soit formé.


 





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