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Martin Luther Aymar

Envoyé par ETRANGER SUR LA TERRE le 14/01/2008

Contemple la justice qui gouvernement les chrĂ©tiens. Le temps de la captivitĂ© Ă  cessĂ©, les larmes de souffrances laisse place aux larmes de joie. L'allĂ©gresse, le bonheur et la paix inondent tous les cĹ“urs purs.ils ont vĂ©cu comme des pauvres âmes et le royaume leurs ait Ă©tĂ© donnĂ©, ils ont surmontĂ©s la colère par la douceur voila pourquoi le Seigneur des bĂ©atitudes Ă  honorĂ© Ă  sa promesse; les rues de Sion sont dĂ©sormais leurs partage. Dans la faim, la soif et la disette, ils se sont prĂ©occupĂ©s de satisfaire surtout les besoins de leurs esprits. Avec un esprit misĂ©ricordieux, les chrĂ©tiens ont acceptĂ© de couvrir les pauvres par leurs manteaux. Nombreux d'entre nous sommes livrĂ©s Ă  des Ĺ“uvres de bienfaisances, rĂ©alisant qu'ils ont Ă©tĂ© Ă©tablit comme des moissonneurs de la justice et des pionniers de l'amour. TĂ©moin des attributs divins et dĂ©fenseurs des honneurs de la divinitĂ©. Toutes les persĂ©cutions qu'ils ont endurĂ©es, loin de faiblir l'amour de Dieu Ă  au contraire Ă©tĂ© un moyen efficace  qui consolida leurs engagements en Christ. Ni les attaques, ni le combats contre le pĂ©chĂ© encore moins les attaques de l'adversaire n'ait pu fatiguer leurs pieds dans la course chrĂ©tienne. Au milieu des insultes, dans le quotidien de la vie, ils ont bravĂ© les vents, tempĂŞtes de l'adversitĂ© et les tonnerres. Ils n'ont pas nĂ©gligĂ© la justice devant la sĂ©duction du mal. Par consĂ©quent, les hommes de sens sont restĂ©s aveugles face au divin zèle qui animait les esprits chrĂ©tiens. Leurs secrets c'est le faite qu'ils avaient mĂŞme au sein du cĹ“ur un amour incarnĂ© qui attirait toujours leurs attentions vers les causes les plus rĂ©putĂ©es. On sait que le pouvoir d'une armĂ©e c'est la haute comprĂ©hension de la stratĂ©gie requise pour le combat. Les crises Ă©motionnelles ont Ă©tĂ© enterrĂ©es pour laissĂ© place Ă  une seule ambition; celle de conserver intacte l'arche de l'Eternel, le conduire au milieu mĂŞme des flots de l'adversitĂ© jusqu'au sommet du mont Sion. LĂ  se trouve la citĂ© de David. Quoiqu'il en soit il ne fallait pas courir sans faire attention Ă  la fatigue ou aux murmures. Certains loisirs coupables bannis. Car, rien ne devait atteindre leur dĂ©termination de voyager.


De plein grĂ©, chacun devais rĂ©pondre individuellement Ă  la vocation christologique. La libertĂ© n'attisa pas l'orgueil et la familiaritĂ© ne favorisa ni les injustices, ni les complots. Certains pouvaient partager leurs cĹ“urs avec autrui. Mais, en qui concerne leurs esprits, ils appartenaient  au Dieu qui les avait rendus apte Ă  aimer la raison et la crĂ©ation. Entière sans aucune distinction. D'autres vont encore plus loin; refusant de connaĂ®tre les dĂ©sirs charnels pour mieux se consacrĂ©s Ă  la volontĂ© divine. D'ailleurs lĂ  Ă©tait le bon choix, offrir entièrement sa personne et ces aptitudes au service du champ Ă©vangĂ©lique. La virginitĂ© favorisait l'innocence, refusant de cĂ©der aux dĂ©sirs naturels, ils ont pu dans la plus part Ă©difier une tour plus haute que l'ordinaire. Ils ont connu la force du silence et la protection que procure la prière. Pour eux, lĂ  prière demeurait ce qui devait leurs procurer toute la force nĂ©cessaire de n'est satisfaire les autres interĂŞts, sinon ceux de la divinitĂ© seuls. D'aucuns sont tombĂ©s au milieu de la bataille sans et pourtant y restĂ© longtemps, sachant que l'amour que Dieu avait pour eux Ă©tait plus fort que la honte du pĂ©chĂ©. Ils ont aimĂ© Dieu plus que tout. Car, L'amour que Dieu avait manifestĂ© dans leurs cĹ“urs Ă©tait plus fort que l'amour des hommes. Ah que les voies de l'Éternel sont insondables, son arche quoique muet ait Ă©tĂ© tĂ©moin de plusieurs Ĺ“uvres hĂ©roĂŻques des chrĂ©tiens. L'arche au milieu du peuple Ă©tait tĂ©moins du mystère de la mort de MoĂŻse, aussi son Esprit garde en mĂ©moires plusieurs souvenirs Ă  la fois dramatiques et louables.


 





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