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Si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ?

Envoyé par T.G le 14/10/2004



La souffrance frappe tout le monde, sans exception, n'importe quand,
n'importe où. Très souvent, elle fait l'objet d'une de nos premières questions
par rapport à Dieu : «Si Dieu existe, alors pourquoi le mal, la souffrance?». A
quoi sert la souffrance, peut-on y échapper, qu'en dit Dieu ?...


Si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ?


Peu de gens parlent des choses importantes ou douloureuses de
la vie. C'est vrai, la plupart du temps, nous cherchons à les évacuer de notre
esprit. Nous courons après des distractions diverses pour échapper aux heurts de
la vie. Nous nous réfugions dans le travail, ou une passion, ou encore nous
cherchons à nous détendre d'un rythme de vie toujours plus fou. Surtout, nous
cherchons à ne pas penser. Comme si le fait même de penser à notre vie, à celle
des autres, faisait mal. C'est qu'effectivement, à des degrés divers, nul
n'échappe à la souffrance. Qui ne s'est jamais senti seul, incompris, n'a jamais
eu peur de ne pas être apprécié des autres, ne s'est jamais trouvé nul ? La
souffrance commence à la naissance, dans nos propres familles : disputes,
colères, attitudes injustes, divorces des parents... Elle continue à l'école,
entre élèves, entre profs, entre profs et élèves. Ca peut être l'échec dans une
matière, l'échec à se faire des amis... Ou encore c'est un accident, une maladie
grave, un handicap, un deuil, une catastrophe naturelle... La souffrance frappe
tout le monde, sans exception, n'importe quand, n'importe où.


Pourquoi moi ?


 


Lorsque nous vivons un drame, une pensée nous vient parfois à
l'esprit : «pourquoi moi ?». Nous avons un sentiment d'injustice. Dans un
magazine, quelqu'un posait un jour une autre question : quand j'entends parler
d'une souffrance quelconque dans le monde, pourquoi est-ce que je ne me dis
jamais «pourquoi pas moi ?». Autrement dit, puisque la souffrance affecte tous
les êtres humains, puisqu'elle existe depuis la nuit des temps, puisque ni le
progrès, ni la science, ni aucun système politique ou social ne l'ont jamais
éradiquée, pourquoi s'étonner que cela nous arrive aussi à nous individuellement
? Pourquoi ne pas plutôt s'estimer heureux quand notre souffrance semble
dérisoire par rapport à ce que certains endurent dans d'autres coins du globe ?


Cela fait effectivement réfléchir... De fait, beaucoup de
personnes trouvent dans ce raisonnement le secret de leur bonheur. Satisfaits et
positifs, ils prennent la vie du bon côté. Nous connaissons tous l'affliction,
mais chacun a aussi sa part de bonheur dans la vie. Considérons que les choses
pourraient être pires.


Dans beaucoup de situations , cela devrait être notre
attitude. Nous serions moins râleurs et plus aimables...


Mais cette réflexion est une bien piètre consolation quand
nous souffrons profondément. Si nous nous posons instinctivement la question
«pourquoi moi ?», c'est parce que nous avons tous en nous cette pensée: la
souffrance est une erreur ! Elle ne devrait pas exister ! Le mal est une
anomalie. Si encore nous étions «punis» lorsque nous faisons le mal, nous
pourrions nous faire une raison et tout faire pour éviter une prochaine douleur
! Mais non. La souffrance est aveugle et apparemment arbitraire : même si nous
faisons le bien, cela ne nous met pas à l'abri d'elle ! Elle n'a apparemment pas
de cause, et c'est ça qui en fait le drame. Pas de cause, donc pas de remède,
pas d'échappatoire !


La souffrance peut-elle être expliquée ?


 


Nous avons tous -et c'est normal- le désir d'interpréter,
d'expliciter les choses, c'est-à-dire d'établir des relations causales, des
liens, afin de donner un sens aux évènements. Les situations deviennent ainsi
moins illogiques ; elles entrent dans un tissu de continuité. La souffrance est
justement vécue comme absurde, comme une rupture, une incohérence dans la
logique de notre conception du monde. Dans son essence nous la percevons comme
injuste. Si elle était le châtiment de nos comportements, elle s'inscrirait dans
un schéma de cohérence. Donc si nous pouvions l'expliquer, nous empêcherions
alors peut-être le cri, l'horreur qu'elle représente.


Dans une certaine mesure, quand la souffrance est
l'indicateur d'une anomalie modifiable, nous avons tout à gagner à en chercher
la cause, afin de la traiter. Le fatalisme, qui consiste à accepter toute
situation difficile sans rien dire, est de l'auto-annihilation. La souffrance
n'a rien de bon en elle-même. Elle n'a pas de vertu curative ou pénitentielle.
Heureusement, dans le domaine médical, la situation est en train de changer par
rapport à cela. Jusque dans ces dernières années, la douleur était en effet
quasi «tabou». Le malade devait supporter patiemment son sort. «Ça lui fait du
bien», pouvait-on même penser. Non, même si nous ne savons pas encore soigner
certains cancers ou certains troubles psychiques, personne n'a à subir sans
raison la souffrance causée par une maladie. Il existe aujourd'hui une
médication analgésique adéquate et efficace.


Toutefois, s'il est juste de se poser un minimum de
questions, nous ne pouvons pas chercher les raisons à toutes les souffrances,
sous peine de risquer de tomber dans le négationnisme ou de tenir des propos
inacceptables. Ainsi, vouloir expliquer la douleur immense de l'holocauste, de
la torture, d'une catastrophe climatique ou tellurique, risque de nous faire
penser et dire n'importe quoi. Nous risquons d'avoir des propos vexatoires,
humiliants, injustes ou discriminatoires. De plus, la douleur n'a plus de raison
d'être entendue ni exprimée si elle est trop expliquée, trop rationalisée. Elle
deviendrait alors partie intégrante des choses normales de la vie, au lieu
d'être un indicateur d'anormalité. Ce n'est pas parce que je sais que j'ai un
cancer incurable que je dois trouver ma douleur «acceptable» et que je n'ai plus
besoin de l'exprimer.


Comment faire face à la souffrance ?


 


Il est possible de dépasser sa souffrance. Cela ne diminuera
pas son intensité, mais de notre attitude face à elle pourront venir notre
«délivrance» et notre croissance intérieure. Mal y répondre aura l'effet inverse
: affaiblissement de notre être et amoindrissement de la beauté de notre
caractère. Non pas que la souffrance soit une vertu en elle-même. Une telle
conception cache un certain masochisme mystique. Mais nous pouvons choisir de
bien réagir par rapport à la douleur, afin de grandir, de connaître,
d'apprendre, de progresser. Du mal peut sortir le bien.


Comment ? Premièrement en prenant le temps de réfléchir et
d'analyser ce qui se passe en nous. Être conscient de moi, de ce qui se joue en
moi, de mes peurs, de mes frustrations : et si la souffrance était propice à une
intériorité salutaire ? Quelques fois, d'heureux changements de vie sont
déclenchés par une épreuve terrible : comme pour ce jeune maghrébin d'un
quartier difficile, emmuré dans sa délinquance, inconscient de sa situation,
incapable de penser à se sortir de là. Maintenant, c'est un musicien doué,
impliqué dans des groupes de la ville et dans une radio. Il a un métier qui le
passionne, un avenir ouvert devant lui. Comment a-t-il opéré la métamorphose ?
«Grâce», dit-il, «à l'accident» qui lui est arrivé. Il est en effet devenu
aveugle, suite à une explosion qu'il avait provoquée. Il aurait pu s'enfoncer
encore plus dans les ténèbres. Il en a fait un tremplin pour changer de vie. Bel
exemple ! Beau courage !


Les évènements tragiques nous remettent en question,
ébranlent nos idées reçues, disloquent les illusions ou les croyances erronées
sur lesquelles reposent parfois nos vies. Et si ce qui me faisait mal était en
vérité une atteinte à mon orgueil, à mon égoïsme ? Pour celui ou celle qui ose
regarder la réalité en face et se remettre en question, le «déshonneur» peut
devenir une chance. Quel épanouissement ce sera alors ! Quel bienfait pour lui
(ou elle) et pour son entourage ! Ainsi, des menaces (et seulement des menaces)
de divorce obligent-elles bon nombre de maris à revoir sérieusement leur
comportement vis-à-vis de leurs proches. Pour celui qui souffre mais qui sait
ouvrir les yeux sur lui-même, c'est un nouveau départ dans la vie, qui peut
suivre.


Enfin, parler de sa plaie à quelqu'un d'autre est également
nécessaire : lire, écouter, rechercher les conseils sages, dans une volonté
d'échange et de partage. Dans la douleur, les gens se rapprochent les uns des
autres. C'est une des conséquences bienheureuses de la souffrance. Celle-ci nous
renvoie à notre humanité fragile et vulnérable. Nous (re)découvrons que nous
avons besoin les uns des autres. Nous comprenons mieux celui-là qui nous
énervait auparavant, quand nous savons et expérimentons ce par quoi il est
passé. Nous écoutons mieux celle-là qui souffre, parce que nous avons ressenti
combien la seule écoute compréhensive était précieuse dans l'épreuve. Nous
devenons plus humain, c'est-à-dire plus transparent, moins arrogant, plus
abordable. Des masques tombent ; notre personnalité s'enrichit de compassion,
c'est-à-dire d'un nouveau regard sur les autres, d'un nouveau désir d'aller vers
l'autre. Notre égoïsme premier s'efface. La souffrance nous amène des amis. Et
si c'était l'occasion d'apprendre un nouveau style de vie ? Pourquoi ne vivre
cette proximité, ces relations retrouvées, qu'au travers de situations
déplaisantes ?


La souffrance nous interpelle sur notre humanité : nous
sommes faillibles, en fin de compte et l'existence est bien vite passée. Pour
quoi, pour qui ? La souffrance est aussi peut-être l'occasion d'une rencontre de
l'Autre...


Si Dieu existe...


 


Que nous soyons croyants ou non, la question de l'existence
de Dieu surgit en nous lorsque nous pensons au mal. Pourquoi ? Si nous disons ne
pas croire en Dieu, pourquoi nous interroger de la sorte ? Et si nous disons
croire en Dieu, quelle réponse y donnons-nous ?


Certainement, une des raisons de notre revendication est liée
à notre sentiment que la souffrance est une erreur. Or si Dieu est Dieu,
c'est-à-dire le Créateur de la vie, celui qui contrôle tout et qui nous aime,
c'est vers lui que nous devons nous tourner pour en avoir l'explication. Comment
un Dieu si grand et si bon peut-il tolérer le mal et laisser l'injustice se
perpétrer ? Comment a-t-il pu créer ce monde où plane la menace de la mort et
des pleurs ?


La Bible parle de notre vécu, ne le conteste pas, mais bien
plutôt l'authentifie. Des grandes figures du passé ont souffert, exprimé leurs
maux qui sont rapportés dans la Bible. Ils posent la question de leur origine à
Dieu. La foi chrétienne ne fait pas de négationnisme. Elle refuse l'illusion et
les doctrines qui nous séparent de la réalité de la vie (la douleur n'est pas
une abstraction de la pensée ou ne peut pas «s'annihiler» par la pensée). Jésus
souffre et ne dit pas que ce n'est rien ; il voit les gens mourir et il pleure.
Le christianisme ne fait pas non plus de masochisme et s'oppose au concept de
«punition» derrière les évènements (voir par exemple : Evangile de Luc ch. 13).
Dieu ne prend pas plaisir à nous voir souffrir. Nous ne prouvons rien à travers
la douleur, ni ne gagnons rien, contrairement à l'idée que certains mystiques
ont véhiculée. Comment «expliquer» que Jésus ait dû souffrir de la faim, de la
soif, de la fatigue, soit trahi, torturé, mis à mort, lui un homme parfait sur
le plan moral et qui ne faisait qu'honorer Dieu ?


Toutefois, certains maux, nous dit la Bible, sont
malheureusement les conséquences directes de nos actes (sans pour autant être
une «punition» envoyée d'en haut). «Celui qui sème l'injustice récolte
l'injustice» (Proverbes 22:8). Ainsi, une mauvaise gestion économique, le mépris
des ressources terrestres, des choix politiques ou sociaux malheureux sont
lourds de conséquence. Nous pensons d'abord à nous-mêmes. La quête de l'argent,
la soif du bonheur ou du pouvoir, les craintes inconscientes sont responsables
de beaucoup de disputes, de séparations et de douleur. À nous la faute. Dieu ne
peut pas en être reconnu coupable. Nous avons été créés libres, ce qui veut dire
-par la même occasion - libres d'expérimenter le mal que nous faisons. Il y a
injustice sur terre, mais parce que l'humanité n'est pas faite d'entités
indépendantes les unes des autres. Je peux récolter le mal que j'ai fait, mais
j'en éclabousse aussi les autres autour de moi, et inversement. Peut-être
devrions-nous plus réfléchir à la présence du mal en nous et l'admettre enfin,
au lieu de la nier ou de l'ignorer. Ce n'est qu'en prenant le taureau par les
cornes qu'on gère les situations graves et qu'on prévient les catastrophes. À
trop se voiler la face, il faut attendre qu'un drame survienne et (bien souvent)
seulement alors nous agissons ! À nous donc de tirer les leçons de la vie et
d'apprendre à être plus sages et moins égoïstes.


Cependant, d'autres tragédies restent inexplicables : les
maladies (qui emportent parfois des bébés), les désastres climatiques ou
terrestres (famine, tempêtes, tremblements de terre...). Pour ces évènements,
nous ressentons alors plus fortement ce sentiment d'injustice, d'anormalité.
Nous ne «méritons» pas de mourir !


La Bible nous confirme que la souffrance, la maladie et la
mort ne sont pas acceptables, car elles n'existaient pas, à l'origine. Les
premiers chapitres de la Bible nous disent effectivement que le monde et les
êtres humains avaient été créés purs, sans mal, par Dieu. Il est donc normal que
nous ayons ces pensées ancrées au plus profond de nous. Mais un événement
dramatique s'est passé au tout début de l'Histoire de l'humanité : le mal est
entré dans la Création, souillant, polluant, contaminant tout, les hommes et les
bêtes. C'est ce principe du mal (que la Bible nomme le péché) qui est source de
tous nos maux. Pourquoi cela a-t-il eu lieu ? D'où vient ce principe du mal ? La
Bible reste silencieuse sur ce sujet. Dieu ne nous en révèle pas l'explication.


Pourquoi ? Parce que Dieu, dans sa souveraineté, a fixé là la
limite entre notre savoir et sa toute puissance. En effet, vouloir donner un
pourquoi à la souffrance, au mal, c'est être finalement comme Dieu, connaître
toute chose. Si je pouvais expliquer la souffrance, je pourrais aussi
m'expliquer Dieu. Cela signifierait que Dieu est à ma mesure. Je contrôlerais
tout moi-même. Mais le propre de l'être humain est d'être fini, fragile et
limité. D'ailleurs je ne peux me comprendre moi-même totalement.


Mais Dieu n'est pas indifférent à ce qui m'arrive. Sur la
croix, Jésus demande pourquoi et ne reçoit pas de réponse (humainement bien
sûr), mais il s'identifie pleinement à ma condition. C'est même au sein de cette
condition qu'il se révèle à moi. Alors, dans la mesure où j'accepte
l'incompréhension, je peux entendre la compassion réelle de Jésus et la solution
qu'il me propose.


Car Dieu a une réponse à notre souffrance. Mais elle ne se
pose pas en termes explicatifs et rationnels. La réponse divine à la souffrance,
c'est une compassion et une consolation véritable, qui proviennent d'une
identification et d'une espérance qui deviendront réalité.


Dieu me comprend, m'écoute, a de l'empathie pour moi. Il sait
ce que j'endure, connaît la profondeur de ma douleur, parce qu'il l'a
expérimentée lui-même. Car ce Dieu si infini s'est un jour fait homme, avec
toutes les limites et les faiblesses que cela comporte. En Jésus-Christ il a
choisi, pour s'identifier à nous et répondre à notre souffrance, de vivre
pleinement notre tragédie. Il ne nous dévoile pas l'origine du mal, mais s'offre
lui-même comme réponse à ce problème. En mourant sur la croix, Dieu a fait
retomber sur lui tout le mal de la terre, de tous les temps : «Ce sont nos
souffrances qu'il a portées ; c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé... Il
était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités... Il s'est livré
lui-même à la mort parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes et qu'il
a intercédé pour les coupables» (Livre du prophète Esaïe, ch. 53).


Ainsi, je peux connaître Dieu à travers ma souffrance et mes
besoins, à condition que je les lui exprime. C'est aussi là (mais pas seulement)
qu'il se révèle. La souffrance pleinement reconnue donne place à l'autre et à
l'Autre. Dès lors j'entends à sa juste valeur les phrases de Jésus :
«bienheureux ceux qui pleurent car ils seront consolés» (Evangile de Matthieu
5:4). Ceux qui acceptent de pleurer, de dire leur incompréhension et leur
révolte face au mal, et de le dire à Dieu en désirant sa présence, peuvent
découvrir Sa consolation. C'est l'expérience de Job, le géant de la foi (livre
de Job, Ancien Testament). Mais ceux qui ne pleurent pas, qui résistent à Dieu,
qui veulent tout expliquer, ne connaissent pas cette consolation.


En effet, parce qu'il a pris les péchés de l'humanité sur
lui, Dieu nous promet qu'il y aura, après la mort, un au-delà dépourvu de
souffrance, sans mal, pour ceux qui se seront confiés en lui. Le croyant qui
expérimente une relation vivante avec Dieu, a au fond de lui-même une ferme
assurance de ce futur enfin heureux : «Puis je vis un nouveau ciel et une
nouvelle terre...Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs
yeux et la mort ne sera plus. Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car
les premières choses ont disparu» (Apocalypse de jean 21:1,3-4) ; «Heureux ceux
qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés» (Evangile de Jean
5:6). Ce récit idyllique peut paraître utopique. Pourtant, Dieu donne la
certitude de sa réalité à tous ceux qui lui confient leur vie, au point que Paul
disait : «nous marchons par la foi et non par la vue, mais nous sommes plein de
confiance et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur»
(Deuxième épîtres de Paul aux Corinthiens 5:7-8). Cette assurance est, pour
quiconque passe par des moments difficiles, un grand réconfort qui aide à
traverser l'épreuve et à en sortir grandi. L'espoir fait vivre, dit-on. Dieu
donne à ceux qui viennent à lui plus qu'un espoir : une conviction qui apporte
une joie et une paix profonde au sein de la tempête.


T.G.



Articles très intéressant sur

http://www.atoi2voir.com/articles/souffrance.html






Commentaires

Nous avoir des nouveaux amis !


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