Relire d'autres actus


Un pèlerin arrive au ciel

Envoyé par SON ARRIVÉE DANS LA PATRIE le 00/00/0000


                                          LE PELÈRIN ARRIVE AU CIEL!!!



 


« Tu rencontreras dans la Demeure du Père beaucoup d'autres pèlerins qui ont connu, eux aussi, la douleur, la tristesse, les combats. Je les ai aussi élus et rachetés, mis à part pour la Cité royale et la Maison de mon Père. Et vous vous réjouirez ensemble. »


 


JOHN BUNYAN dans son œuvre; la cité de l’âme.


 


Lorsque notre homme arriva dans les cieux ses yeux étaient éblouis de voir des choses merveilleuses qu’il n’était permit aux yeux humains de contempler. Une fois qu’il sorti du char de feux; ses pas commencèrent à marcher sur l’or. Les pierres précieuses que les êtres humains conservent jalousement au point de faire versé le sang pour en extraire étaient devenu  son marchepieds.Il rentra dans cette ville comme le Seigneur entra dans  Jérusalem. Ses pieds traversèrent la grande avenue des martyres à sec. De toute part il était environné par deux murailles spirituelles d’onyx suspendu en l’air, celles-ci honoraient sa venue par la symphonie des trompettes qui chantaient un cantique nouveau inconnu aux humains. Le chrétien était habillé avec des vêtements blancs faites comme en poil d’Agneau blanc. Donc, tout en lui était blanc. Toute la foule des personnes qui l’entouraient vêtus  en vêtements ayant une blancheur  comme la neige.Leurs yeux étaient rouges comme  de la pourpre. Dans cette ville les anges volaient comme des aigles laissant derrière leurs passages des nuées en forment d’arc en ciel. Je compris toute suite que l’arc en ciel montrait l’unité spirituelle rendu possible grâce au mélange de toutes les couleurs humaines. Car, les grecs, les juifs et toutes les autres races humaines issues des coins différents sont venues se rassembler autours du trône éternel comme un seul peuple. Le fruit du pays avait de l’éclat et de la beauté. Le pays étaient rempli des saints. Le souffle de justice de l’Agneau parfumait les habitants de cette ville carrée comme la perfection de l’Étoile du matin. Les pans de la robe sacerdotale du souverain sacrificateur remplissaient toutes les rues de Sion. Les cieux étaient pleins de cette gloire. De toute part on pouvait entendre des échos qui clamaient sur la sainteté du Roi Éternel. Les chérubins et les séraphins volaient ayant dans leurs mains des pierres sur les quelles on pouvait lire ces inscriptions : « Le Seigneur Jésus Christ est l’unique Rocher de Sion ».Les saints avaient des rameaux d’or. Le nom du Seigneur était un sanctuaire qui dégageait de l’encens. La puissance de notre empire c’est la nature pure ces habitants. Rien d’impure ne pouvait venir altérer la piété qui ornait les mures de Sion. Si l’Esprit qui me donnait cette inspiration pouvait me le permettre; je dirais que le piété était une peinture qu’on avait mi sur toutes les ustensiles du temple. Le chrétien prit la parole dit :


 


 


 


 


 


 


Gloire soit à l’Agneau de Dieu


Immolé pour le salut de mon âme.


Son Nom est inscrit sur toutes les stèles de la ville sainte.


Vainqueur est l’Agneau.


Sauveur et rédempteur des saints.


 


Oui, la piété de Sion inspire mes lèvres.


Ma bouche est miraculeusement inspirée pour chanter des cantiques de l’Agneau!


Car, Il a réellement vaincu pour mon âme pécheresse.


Héros de Jérusalem


Martyre du calvaire


Sacrifice de Dieu


 


Béni soit le nom de l’Agneau divin


Glorifié par le Père des cieux


Chanté par les  saints anges


Acclamé par les saints hommes de Dieu.


Par un seul sacrifice il arracha mon âme de la perdition.


 


Gloire soit à l’Agneau de Dieu.


Ces mains ont été déchirées par les clous enrouillés.


Son dos avait des sillons faits par l’épée des impies.


Son sang est un fleuve saint qui lave mes souillures.


 


Gloria, gloria dans les cieux pour l’honneur du grand Agneau.


En un seul jour il sauva mon âme de la vallée de la perdition.


Aujourd’hui je suis compté parmi les 144.000.000 qui chantent ces cantiques!


 


 


Ensuite il rajouta; je suis jeune et vous êtes de vieillards, c’est au contraire à moi de vous servir!


Non, fils de l’homme, tous ceux qui arrivent dans cette ville sont des vieillards serviteurs. Ce n’est pas le nombre des années qui donne le respect. C’est au contraire le niveau de ta maturité qui t’aspirera l’humilité de servir les autres comme le Maître nous donna l’exemple en se rendant serviteur de tous…


 


 


 


 


 


 


Le jardin d’Éden tant recherché par les archéologues, imaginé par les artistes n’était plus un tableau d’art inerte .Tout était en mouvement, la vie coulait de toute part comme un fleuve. Cette cité est bien structurée, elle est fondée sur l’inébranlable parole de Dieu.






Commentaires

Nous avoir des nouveaux amis !


Clique, aime et partage cette page "Lire une actu - Un pèlerin arrive au ciel" !